Nom : Geyras
Prénom : Aanor
Age : 20 ans
Physique :
De taille moyenne, brune et les yeux jaunes, Aanor n'est pas vraiment impressionante, ni étonnemment belle, mais quand son regard glacial détail les alentours, elle attire l'attention. Sa démarche rapide et sèche est rythmé par ses talons, ce qui lui donne un coté sévère, et presque exaspérée.
Caractère :
Plutôt sérieuse, manipulatrice et diplomate, Aanor aime l’ordre et la discipline par-dessus tout, ce qui ne fait pas d’elle une rabat-joie pour autant. Elle n’aime pas parler d’elle, et encore moins de son passé. Celui qui connait son prénom peut être heureux, celui qui sait son nom de famille est extrêmement chanceux, et celui qui sait ce qu’elle aime doit être mort de vieillesse.
Arme : Deux revolvers, un fusil et un couteau de chasse.
Clan : la Fédération
Aime : la poésie, et les peluches.
N'aime pas : presque tout.
Histoire :
Aanor est la fille d’une voleuse et d’un célèbre politicien. Sa mère n’a jamais existée aux yeux du publique, elle était censée être morte à la naissance d’Aanor. Elle apprit alors à se méfier de tout et tout le monde. Alors que sa mère commettait quelques larcin par ci et quelques cambriolages par la, et que son père atteignait peu à peu le pouvoir, Aanor étudiait, encore et toujours. Arrivée à un niveau très avancé, la guerre se déclara, emportant son père. Sa mère, elle, est portée disparue. Aanor se referma petit à petit sur elle-même, ne parlant presque plus, alors que le monde qui l’entourait devenait de plus en plus horrible. Fragile et seule, Aanor errait, allant de mauvaise rencontre en mauvaise rencontre, jusqu’au jour où …
C’était une nuit comme les autres, animée par les cris des blessés, les pleurs des enfants, et le couinement des rats. Aanor marchait, les mains dans les poches, le visage caché par ses cheveux. On l’attrapa violemment par le bras et on la traina de force dans une ruelle sombre. Elle l’avait compris : on voulait la violer. Elle se débattait, mordait, et criait, mais personne ne venait. Des cris, il y en avait partout, personne n’y faisait attention. C’est alors qu’un coup de feu retentit. Son agresseur tomba, mort. Aanor leva la tête, encore tremblante. On lui tendait la main. Sans réfléchir, elle l’attrapa et se releva. C’était des militaires.
Ils l’amenèrent dans un abri, où elle resta jusqu’à la fin de la guerre. Ce fut là bas d’ailleurs qu’elle rencontra Rotschild. Bien sûr, son nom connu lui permit de ne manquer de rien, mais seulement Rotschild la connaissait, et cela suffisait à Aanor. Elle n’aimait pas être le centre d’intérêt.
Depuis, elle est membre de la Fédération, et travail un peu partout. Au laboratoire, sur le terrain. Partout où les gens ne s’intéresse pas à elle.